sable bitumineux

 Le gouvernement Britannique aide en secret le Canada sur les sables bitumineux

Le gouvernement Français ne veut plus pénaliser les sables bitumineux Canadien

(Ottawa) Le gouvernement Harper martèle que l'économie est sa principale préoccupation, et il mise sur les sables bitumineux pour attirer des investissements

Pas de nouvelles réglementations pour les gaz de schiste


100 tonnes de sables bitumineux pour faire seulement 11 tonnes et demie de bitume (11%). C’est très peu pour toute la pollution engendrée et les conséquences désastreuses de cette extraction.

 Au Canda : 

-Réduction de la forêt boréale

-destruction des tourbières (immenses réservoirs de méthane CO² non comptabilisé dans les émissions de gaz a effet de serre)

-Énergies pour le terrassement

-Énergies pour le raffinage

 Ce procédé d’extraction libère des quantités phénoménales de gaz à effet de serre et d’autres gaz polluants, voire nocifs pour l’écosystème et la vie végétale, animale et même humaine.

 Parmi les gaz les plus rejetés durant les différents procédés d’extraction des sables, il y a des très grandes quantités de méthane (CH4), de monoxyde et de dioxyde de carbone (CO et CO²) et de gaz sulfuriques (SO).

 Les gaz carboniques contribuent grandement à l’effet de serre et au réchauffement. En 2002, une compagnie d’extraction de sables, Suncor rejetait 600 tonnes de CO² ... à l’heure ! pour un total de plus de 5 millions de tonnes par an ! Parmi les agents émettant le CO², il y a les cokeurs (sert à trier le bitume plus lourd du léger), mais il y a aussi tous les camions et machines qui travaillent dans les mines. Tous ces gaz carboniques n’aident pas la cause de Kyoto et explique le retrait du Canada.

 Le gaz sulfurique lié au souffre SO2 est un gaz qui entre dans la formation d’acide sulfurique (H2S) lorsqu’il est mélangé à l’eau. Ce gaz se mélange donc aux particules d’eau incluses dans l’air et contribue ( pratiquement le seul responsable) à la formation des pluies acides. Les sables noirs

les scientifiques ont utilisé des satellites pour mesurer le dioxyde d'azote et de dioxyde de soufre émis par l'industrie, en Alberta, au Canada .Dans une zone de 30 kilomètres (19 miles) par 50 kilomètres (31 miles) autour des mines, ils ont trouvé des niveaux élevés de ces polluants.

"Pour les deux gaz, les niveaux sont comparables à ce que les satellites vois sur une grande centrale électrique - ou pour le dioxyde d'azote, comparable à ce qu'ils voient sur ​​certaines villes de taille moyenne."


 

 

 

 

 

 

 


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