Désinformations scientifiques au Québec

Des désinformations scientifiques au Québec venu d'Alberta font réagir des scientifiques Québécois.

Des panneaux d'affichage niant l'influence de l'homme sur les changements climatiques ont fait leurs apparitions dans la région de Montréal.

Cette imposture scientifique signalée par l'ACS (association des communicateurs scientifiques du Québec) est une nouvelle attaque envers la culture scientifique Québécoise. Elle est d’autant plus vicieuse que ses auteurs, Friends of science, un organisme climato-sceptique d'Alberta, prêtent parler au nom de la science et usurpent sa crédibilité pour désinformer la population.

L'ACS cherchent à répliquer à cette campagne de désinformation scientifique en installant des panneaux dans la région montréalaise pour affirmer haut et fort, par tous les moyens possibles, que la désinformation scientifique ne est pas la bienvenue au Québec.

Cette solution pourrez atteindre de 50 000 à 80 000 personnes par jour et sera aussi une occasion d'attirer l'attention du public sur la nécessité de préserver la culture scientifique et de démystifier les mythes existants au Québec.

À cela s’ajoute un climat fédéral hostile à la diffusion de l’information scientifique. Pour informer le public, les communicateurs et journalistes scientifiques ont difficilement accès aux chercheurs fédéraux ; les bibliothèques fédérales sont dilapidées ; les activités d’éducation scientifique des parcs fédéraux sont réduites.

Parlons aussi du projet Transcanada qui lui aussi fait sa pub.

L’industrie des sables bitumineux d'Alberta (industrie la plus sale de la planète) en vue d'une futur exportation, souhait faire acceptés aux Québécois ce projet dangereux et qui les rendront complices de l'acheminement de ce pétrole ​dans les eaux où vives et résident des espèces protégées et en voie de disparition comme des bélugas, baleines blanches mais aussi des rorquals, des phoques et d'autres mammifère marins de grande taille.

Les plus grands spécialistes (indépendants) des bélugas au Québec se sont dits extrêmement inquiets pour la survie des bélugas en raison notamment des impacts dangereux qu’auraient les travaux sur cette espèce menacée.