Les lanceurs d’alerte français pouvaient compter sur la Cour européenne des droits de l’homme et le Conseil de l’Europe pour bénéficier d’une protection. 

 Cependant le Conseil des ministres européens a ratifié par consensus (donc sans vote !) la directive sur le secret des affaires, adoptée par le Parlement de Strasbourg . En ajoutant «acte répréhensible» envers toutes les pesonnes, les salariés, les jounalistes qui denoncent des agissements ou faits douteux dans les entreprises ou les grandes firmes.

 Autrement dit les lanceurs d'alerte vont être considérés comme des délinquants et risqueraient des représailles.

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